讲述了落魄编剧钟正(张建声 饰)孤身涉险进入赤浪湾监狱,欧美寻找祖辈宝藏的故事。在监狱中,欧美他一方面遭遇到狱霸大彪哥(陈保元 饰)的压迫,一方面也被重情重义的蟹哥(吕良伟 饰)所保护。宝藏计划意外泄漏,致使三人关系变得扑朔迷离,而在经过一番博弈之后,他们决定开启“越狱行动”,合力将宝藏运出监狱。巨额宝藏带来的究竟是兄弟情谊还是纷争?
讲述了落魄编剧钟正(张建声 饰)孤身涉险进入赤浪湾监狱,欧美寻找祖辈宝藏的故事。在监狱中,欧美他一方面遭遇到狱霸大彪哥(陈保元 饰)的压迫,一方面也被重情重义的蟹哥(吕良伟 饰)所保护。宝藏计划意外泄漏,致使三人关系变得扑朔迷离,而在经过一番博弈之后,他们决定开启“越狱行动”,合力将宝藏运出监狱。巨额宝藏带来的究竟是兄弟情谊还是纷争?
回复 :由马迪警督押送的嫌疑犯威高(吉昂•马利亚•沃隆特 Gian Maria Volonté 饰)从火车上逃跑,马迪马上联络总部在各处设置路障,并且出动警力大力搜捕威高。科里(阿兰•德龙 Alain Delon 饰)提前从监狱里被释放,当晚找到了昔日旧友里克敲诈得到了钱和枪,随后买了车离开此地。威高死里逃生巧合之下躲进了科里的后备箱里。科里经过路障检查时帮助威高蒙混过关,两人就此结识。他们途中被劫匪抢劫,两人相互配合杀死了劫匪。马迪警官判断威高逃跑会投靠酒吧店主桑提,于是找到桑提要求他当线人并提供线索,桑提拒绝后被拘留。而此时威高和科里找到了被革职的警察简森(伊夫•蒙当 Yves Montand 饰),三人合谋计划一次珠宝抢劫案……
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :日本战国时代三雄之首的武田信玄(仲代达矢饰),号称“甲斐之虎”。他的信条是“疾如风,徐如林,侵略如火,不动如山”。当武田信玄包围德川军的野田城,即将直取京都完成霸业时,他被敌人的狙击冷枪打中,重伤濒死。临死前,他留下遗言要部下隐瞒自己死讯三年。先前弟弟武田信廉(山崎努饰)找到的替身(仲代达矢饰),原为窃贼的他面貌和信玄酷似,即日本人所说的“影子武士”,担当起了重任。就这样,在武田信廉一旁的支持辅助下,影子武士从贼性未改到被武田家的大义之举所感动,尽心尽力履行职责,他令武田家人及敌人坚信他就是信玄本人。然而,三年将至,意外之事发生,影子武士被揭露,他被赶走,而武田家的气数也将尽……