谎话连篇2
地区:欧美
  类型:热血
  时间:2025-08-31 02:27:48
剧情简介

一九三九年之夏,谎话十三歲男孩獨自前往與世隔絕的孤島,谎话擔當燈塔主人的助手。風景如畫的小島,其實是個無處可逃的牢籠。操控欲強的嚴苛父親培養出唯命是從的乖巧兒子,因為陌生男孩的闖入,本來絕對封閉的家庭開始失衡。嚴格支配一切的燈塔主人,逼出男孩的絕地反抗。導演以獨特的女性視角,描繪父子、手足、師徒的權力關係,譜出忠誠、背叛、嫉妒的情感張力。對下一代的過份期望反為孩子帶來無可挽回的身心創傷。代表芬蘭出戰奧斯卡金像獎最佳外語片。2014/ 瑞典哥德堡電影節 Telia 獎2014/ 代表芬蘭角逐奧斯卡金像獎最佳外語片

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明星主演
关菊英
浮世绘
尹健
最新评论(436+)

何东均

发表于4分钟前

回复 :故事发生在北朝,战争爆发了,朝廷发出军帖征兵,每户必须派出一名男丁上战场。华世荣年岁已大,虽然有一个儿子,但儿子尚且年幼无法出征,看到父亲如此的苦恼,长女花木兰(陈云裳 饰)决定女扮男装,替父从军。在之后的三年里,花木兰和战友们同吃同住,在隐藏自己女儿身份的同时巾帼不让须眉,立下了屡屡战功,深得战友和将军的信赖,其中,花木兰和一位名叫刘元度的战友关系格外要好,两人之间结下了坚实的友谊。一天,木兰在无意之中识破了敌人的圈套,她和刘元度假扮成兄妹深入敌后,使得己方获得大胜。最终,花木兰一方赢得了胜利,回朝后,花木兰拒绝了皇帝的赏赐,返回家乡,侍奉父亲。


许淑娟

发表于1分钟前

回复 :文乐乐放学回到小区,发现杨奶奶被救护车拉走,非常担心和着急,于是和小伙伴们打算买海马给杨奶奶补身子。他们一路颠簸,最终因为渔船没油飘流在了海上,最终被警察和家长们找到。乐乐的父母非常愧疚,两代人之间心存的芥蒂终于释怀。


张玮纶

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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