美籍游客贝克特在希腊发生严重车祸后,视频发现自己莫名身处一场危险政治阴谋的核心。为了保命,他被迫展开逃亡。
美籍游客贝克特在希腊发生严重车祸后,视频发现自己莫名身处一场危险政治阴谋的核心。为了保命,他被迫展开逃亡。
回复 :西安电影制片厂,1940年,我国西北沙漠地区遇到了前所未有的大荒年,伊斯兰教民、道教信徒都以自己特有的仪式祈雨,苍天却无动于衷。当人们开始绝望的时候,一位外邦牧师千里迢迢来到这里,老天爷居然神奇地下了一场透雨,人们疯狂地冲出家门抢地播种,更多的灵魂成为上帝的虔诚信徒,但老天爷却没有再洒下一点雨水。人们彻底绝望了,不得不背井离乡去寻找能够生存的地方,牧师也要离开这块荒蛮的土地。一位牧羊少年目睹了这一切,他成为牧师在这儿的第一个朋友。40年过去了,在同一块土地上,当年的牧羊少年已是白发的马县长,他带领群众移峁填壑,兴修水利,但是严重的缺粮现状和艰苦的劳作条件,仍在这里制造着一幕幕惨剧。就在马县长深感工程难以继续的进修,从省城传来联合国粮农组织准备为贫困地区提供援助的消息,马县长再次兴奋起来。6年后,联合国官员贝尔曼先生来视察工程,他对眼前的变化感到欣慰。然而他发现马县长在施工中有违背合同规约的事实。省里为维护国际协议,被迫撤了马县长的职。马县长在回村的路上,终因心力交瘁,一头栽倒在故乡的土地上。贝尔曼得知此消息后,百感交集,他悟出,中国不仅是一个英雄的民族,也有着英雄的个人。在马县长的墓地,一位外国老人伫立着,他来寻找40年前的这块土地上结识的一位中国朋友。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :本片叙述苏联入侵美国,并屠杀美国的居民,居民都无力反抗,此时有一群年青人联合起来对抗入侵者……