故事开始于图书馆,夜视当John发现了Garrett先生的一条希伯来文的模糊求救信息,夜视这场恐怖之旅正式开始——由Mark Gatiss导演的惊悚片《Tractate Middoth》,由Sherlock的Una Stubbs,Dr Who的Louise Jameson,Being Human的Sacha Dhawan等主演,让2013年的圣诞新年季欢乐与恐怖并存。它将在圣诞之夜播出。
故事开始于图书馆,夜视当John发现了Garrett先生的一条希伯来文的模糊求救信息,夜视这场恐怖之旅正式开始——由Mark Gatiss导演的惊悚片《Tractate Middoth》,由Sherlock的Una Stubbs,Dr Who的Louise Jameson,Being Human的Sacha Dhawan等主演,让2013年的圣诞新年季欢乐与恐怖并存。它将在圣诞之夜播出。
回复 :莎姬和她的朋友花花公子帕特里克和甜心安东住在一个公寓里,这三个人都不想谈恋爱。童年父母的吵架的经历令莎姬觉得没有必要找到真爱。莎姬童年时最好的朋友菲利普给她发出了结婚请柬,请柬在塞满了邮件的邮箱里滞留了好几个月。当莎姬终于看到请柬时,她震惊地发现菲利普的婚礼就在第二天,他想要娶高傲而恶毒的弗兰西斯卡,这个女人绝对不适合菲利普!莎姬决定尽她所能阻止菲利普犯下人生中最大的错误。婚礼当天,莎姬在大闹一场破坏婚礼后喝醉了,第二天被安东叫醒的她发现自己又回到了即将去参加婚礼的早上……
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :无生命的手枪在林华全的电影里获得生命,手枪以人的口吻自述自己的离奇经历,通过自己辗转落于不同人物手上的际遇,从而道出因为不同人偶然获得这把枪所引起的人生百态。曾经与这支枪有关的人物包括外佣、流氓、妓女、绑匪、白领西装友、渔民、省港旗兵,还有小学生。当有枪在手,谁不想扣扳机?枪本不会杀人,但人却会杀人,就像有权在握时,滥用者十之八九。枪从旺角的公厕游走到长洲再偷渡到深圳,途上连索数命,其中有性工作者和古惑仔,也有头脑冲动的年轻人以及无辜的路人。按摩女郎与男友的爱恨纠缠关系,黑巷枪战引起的灵异情杀,一连串人的故事,都借枪的出现发生了。