男人天堂手机2018
地区:美国
  类型:恐怖
  时间:2025-07-15 13:08:47
剧情简介

一九三五年美国波士顿一对上流社会的夫妇想要拥有孩子,男人可惜先生亚瑟(威廉赫特饰)不孕,男人太太艾琳娜(麦德琳史道威饰)建议老公不妨花钱找人让她怀孕。亚瑟同意了,于是在哈佛念法律的学生罗杰(尼尔派崔克哈里斯饰)雀屏中选。 刚从英国来到美国波士顿的麦克基隆神父(肯尼斯布莱纳饰),一心只想传递福音,刻意避开上流社会,不想与他们往来。然而,当亚瑟发现罗杰喜欢上艾琳娜,扬言要杀了罗杰时,无助的艾琳娜找他求助……没想到一向心海无波的神父,竟也爱上魅力无边的艾琳娜……

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明星主演
傅天颖
刘蓝溪
张润伟
最新评论(246+)

丁小芹

发表于1分钟前

回复 :一个亿万富豪企业家冲动地制作一部经典电影,于是找来知名电影人萝拉(彭妮露古丝 饰)执导这部野心勃勃的大制作,众星云集的主演阵容里有两位重量级、但麻烦多多的演员:荷里活型男菲力斯(安东尼奥班达拉斯 饰)和偏激的舞台剧演员伊凡(奥斯卡马提涅兹 饰),两个传奇人物同时也是死对头。经过萝拉设下一连串光怪陆离的试炼之后,菲力斯和伊凡不只要正面交锋,还要保全各自的名声。当电影终于开拍时,谁能笑到最后?


刘冲

发表于5分钟前

回复 :两代百老汇的“西贡小姐”Lea Salonga和Eva Noblezada将合作出演新片《黄玫瑰》(Yellow Rose),是一部音乐剧,聚焦一个17岁的菲律宾裔美国女孩,她来自得州,热爱乡村音乐,想当歌手。但她的母亲被美国移民和海关执法局逮捕,女孩逃走了,她必须闯出自己的路,不然会被跟妈妈一起驱逐回菲律宾。纪录片导演Diane Paragas执导,卡司将创作和演出片中音乐。


拥挤的房子

发表于8分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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